Nexus de l’adoration
Joris Lacoste
Salle de l’Horizon
- 7 janvier 2026 → 19h00
- 8 janvier 2026 → 19h00
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Nexus de l’adoration
Durée: 2h15
Public dès 12 ans
Théâtre pop, Comédie musicale connectée, Radicalité joyeuse
Dans le cadre du Festival Transforme
Une forme artistique peut-elle faire la synthèse des identités qui tiraillent notre société? Joris Lacoste s’y essaye dans une célébration d’un nouveau genre, nourrie de la culture pop et des mille discours qui définissent l’époque.
Un cerf dans la brume, un morceau de Jul, une prière, de la prose théorique, une cigarette électronique, une motion de censure, une choré de K-pop. De nos jours, tout coexiste dans un chaos culturel et social où il est devenu impossible de faire sens. Le spectacle peut-il nous aider à y voir clair? Metteur en scène et collecteur de paroles, Joris Lacoste invente un rituel « pop-liturgique », se donnant pour mission de chanter toutes les choses du monde dans une cérémonie éclectique et colorée. Cette célébration radicale, portée par neuf interprètes dans une suite de numéros musicaux chantés ou parlés, assume ses contradictions et célèbre l’hétérogénéité de nos sociétés contemporaines. De la science à TikTok, des revendications identitaires aux références les plus triviales, ce Nexus de l’adoration embrasse tout, et ose une fusion joyeusement dissonante des réalités qui composent, bon an mal an, nos sociétés contemporaines.
Distribution ↑
Conception, texte, musique, mise en scène Joris Lacoste
Scénographie et lumières Florian Leduc
Collaboration à la chorégraphie Solène Wachter
Collaboration musicale et sonore Léo Libanga
Costumes Carles Urraca
Son Florian Monchatre
Assistanat à la mise en scène Léo Libanga et Raphaël Hauser
Régie générale Marine Brosse
Stagiaire Seydou Grépinet
Production et diffusion Hélène Moulin-Rouxel et Colin Pitrat/ Les Indépendances
Administration Edwige Dousset
Interprétation et participation à l’écriture Daphné Biiga-Nwanak, Camille Dagen, Flora Duverger, Jade Emmanuel, Thomas Gonzalez, Léo Libanga, Ghita Serraj, Tamar Shelef, Lucas Van Poucke
Production ↑
Production déléguée Compagnie Echelle 1: 1
Production associée La Muse en Circuit, Centre National de Création Musicale
Avec le soutien de la Fondation d’entreprise Hermès et du Fonds de production (DRAC Île-de-France)
Coproductions Bonlieu - Scène Nationale d’Annecy; MC93 - Maison de la Culture de Seine-Saint-Denis; théâtre Garonne - scène européenne, Toulouse; Les Célestins - Théâtre de Lyon; Festival d’Automne à Paris; Festival d’Avignon; CDN d’Orléans/ Centre-Val-de-Loire; Festival Musica Strasbourg
Avec la participation artistique du Jeune théâtre national et du dispositif d’insertion de l’École du TNB
Résidences Abbaye de Noirlac; La Muse en Circuit - CNCM; MAC de Créteil; CROMOT Paris; MC93 Bobigny; Bonlieu - Scène Nationale d’Annecy; Théâtre Garonne, Toulouse
La compagnie Échelle 1: 1 est conventionnée par le ministère de la Culture/ Drac Île-de-France et soutenue par la région Île-de-France
Remerciements Ling Zhu, Assia Turquier-Zauberman, Alan Hammoudi, Pierre-Yves Macé, Augustin Parsy, Jean-Baptiste Veyret-Logerias
Lire, Écouter, Voir ↑
« Nexus de l’adoration et Occupations : deux spectacles en forme d’inventaires«
France Culture, décembre 2025
Nexus de l’adoration. Ne soyez pas effrayé par la grandiloquence de ce titre, il est très drôle. C’est une sorte de cérémonie à laquelle on assiste, un rituel musical et dansé par une dizaine de comédiens, en l’honneur de tous les mots et les choses du monde, exemple: “un nouveau projet de loi sur l’immigration/ un babyphone à quatre heures du matin/ une tortue du Moyen Âge/ un championnat interdépartemental de motocross/ l’eczéma de Michel Houellebecq”. Bref, tout ce qui fait le monde se trouve juxtaposé dans des listes ou des monologues délirants.
Joris Lacoste présente Nexus de l’adoration
Vidéo de présentation Festival d’Avignon, 2025
« Comment ne pas devenir fou en étant en permanence traversé par tous ces discours? »
France Culture – Par les temps qui courent, 2017
« Avec Joris Lacoste, la parole est un théâtre »
Le Monde, octobre 2020
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